par Yanick Toutain
28/4/2015
Au Havre, la BAC tente de terroriser les témoins de violences à enfants dans les écoles (et les blogueurs qui les soutiennent) en procédant à des interpellations illégales au bar Le Week End près de la plage....
De paisibles consommateurs de café se retrouvent menacés de violences par la BAC s'ils n'acceptent pas d'obéir aux policiers lancés par la procureur raciste du Havre - ex-conseiller de Eyadéma au Togo, un procureur Nachbar protecteur des policiers assassins de Abdoulaye Camara.
En Guinée Conakry sous la botte franceàfric on peut voir ici comment la BAC local traite les enfants de 10 ans....
Des voyous en uniforme
Ajoutée le 13 avr. 2015 Les bac du Hamdallaye sont venus s'attaquer à la population du Hamdallaye devant le siège du RPG la police s'attaque sur les enfants de moins de 10 ans
GESTAPO FRANCEàFRIC DE CONAKRY
CONTRE LES JEUNES DE DIX ANS
Mais, fort heureusement, un cousin résistant de base passait par là avec un ami qui filma la scène pour témoigner de ces actes barbares :
Il ne reste plus au cousin de faire comme nous et de créer son propre blog
- L'Havrais Vérité
- Fécamp La Révolution
- Instit proEntraide antiViolences à enfants, antiFranceàfric Une professeur des écoles réprimée pour avoir lutté contre les oppressions
- La Vérité Âpre Nantes
- A bord d'Ormée, la vérité ! (A Bordeaux mais la vérité)
- commentaires sur Numérama
- Paix&Liberté d'Abdourahmane P. Camara
Pour le mode d'emploi, pour comment faire, lire cet article.
Le cousin et tous les autres résistants témoins des méfaits des Gestapo Franceàfric pourront CREER LEUR PROPRE BLOG
jeudi 19 mars 2015
Comment faire un blog pour accuser honnêtement les coupables en signant nom+prénom
PS
La tension est toujours grande dans le quartier populaire de Hamdallaye à Conakry
La tension est toujours grande dans le quartier populaire de Hamdallaye à Conakry
COLERE POPULAIRE EN GUINEE CONAKRY
Il y a actuellement une montée de la colère du peuple et un cycle de manifestations durement réprimées par le pouvoir compradore
Bilan des manifestations : l’UFDG déplore 87 blessés dont 65 par balles et un cas de viol
Depuis le 13 avril 2015, début des manifestations de l’opposition contre l’insécurité, les délégations spéciales et fondamentalement pour protester contre le chronogramme électoral, il y a eu plusieurs blessés et des cas de morts d’hommes, a rappelé à Guineematin.com un des responsables du principal parti de l’opposition.
Selon monsieur Maladho Diallo, l’UFDG déplore quatre vingt sept (87) blessés dont soixante cinq (65) par balles, précisant que ces chiffres ne concernent que la zone de Conakry et qu’il existe d’autres cas de blessés non répertoriés. Monsieur Diallo a tenu ces propos à Guineematin.com lors d’un entretien avec un de nos journalistes, ce dimanche 26 avril 2015.
« Pour la journée du 13 avril nous avons enregistré trente deux (32) blessés dont vingt cinq (25) par balles. Le 14, une femme a été violée. Les manifestations des 20 et 21 avril, nous avons enregistré vingt cinq (25) blessés dont vingt (20) par balles.
Pour ce qui est de la journée du 23 avril 2015, on a eu trente (30) blessés dont vingt (20) par balles. De nos jours, nous avons dix huit (18) personnes hospitalisées à travers certains centres hospitaliers de Conakry. Quatre (4) sont à Donka, huit (10) à la policlinique de Dixinn, trois (3) à la clinique mère et enfant et une (1) personne à la clinique de Dogomet à Cosa », déplore Maladho Diallo
Concernant les interpellations, monsieur Diallo a parlé de plus d’une vingtaine : « Nous avons plus d’une vingtaine d’interpellations. Il y a eu des mineurs qui ont été libérés. Certaines personnes ont été condamnées et d’autres sont en détention provisoire à la sureté de Conakry et on attend leur jugement demain lundi 27 avril 2015 », ajoute ce responsable de l’UFDG.
Par rapport aux cas de mort, l’UFDG déplore deux cas de mort dont celui enregistré dans la journée du 23 avril 2015 à Labé.
En ce qui concerne les personnes interpellées à l’intérieur du pays, Maladho Diallo a indiqué à Guineematin.com qu’il y a quatre (4) à Mamou et deux responsables à Kindia, qui attendent tous d’être jugés ce lundi 27 avril.
Thierno Amadou Camara